La vie devient tellement improbable par moments. Aimer les filles, vivre avec des hommes. C'est cyclique: je m'emmêle dans les pièges identitaires que je me tend toute seule. Je passe mes nuit chez lui: tous les matins je m'en vais pleine de regrets. Il me fait perdre mon mysticisme, je deviens quelqu'un de sensuel. Je m'angoisse. Il m'attire mais ne me plaira pas. Je pense qu'il est amoureux.
Je dormirais bien cinq ans, pour voir.
Turbulence
"Il y a tant d'aurores qui n'ont pas encore luit"
Samedi 29 janvier 2011 à 21:33
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